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I-DEAL DEVELOPMENT, LE PODCAST : ACI - L'INTERVIEW

December 14, 2020 I-DEAL DEVELOPPEMENT
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I-DEAL DEVELOPMENT, LE PODCAST : ACI - L'INTERVIEW
Show Notes Transcript

Découvrez l'interview des protagonistes de la formidable ascension de ACI GROUPE.
Comment Philippe Rivière et Patrice Rives ont pu constituer un groupe regroupant 14 entreprises en 18 mois, accompagné par I-DEAL DEVELOPMENT et Frederic Bonan ?
Réponse dans ce podcast

Journaliste : Vous venez d'écouter l'histoire de Philippe Rivière. On va maintenant revenir ensemble sur cette fantastique aventure entrepreneuriale. Seulement 18 mois après la création de ACI Groupe, Philippe Rivière a construit de nouveau une entreprise industrielle avec pas moins de 14 usines acquises. Pour décortiquer ce parcours, cette réelle remontada, je suis avec Frédéric Bonan, architecte de ces différents deals et bien sûr, Philippe Rivière, patron de ACI. Bonjour à tous les deux.

Frédéric et Philippe : Bonjour Florent.


 Journaliste : Je vais commencer avec vous, Philippe Rivière. Je voudrais remonter aux racines de votre projet quand les dirigeants de votre ancienne entreprise décident de se séparer de vous alors que vous étiez impliqué corps et âme. Dans quel état d'esprit vous étiez ?
 
 Philippe : Toujours le même. Je suis toujours positif. Ça vient de trois points et je dirais dans mon histoire. La première, c'est un parcours international qui amène des difficultés sur lesquelles on n'est pas forcément préparé par notre éducation et qui nécessite tous les jours d'être, on va dire, humble et remis en cause.
Le deuxième, c'est l'ensemble du sport que j'ai pu faire aussi, qui me permet d'aller chercher ma résilience et mon point de rupture. 

Et puis le troisième, de toute façon, comme tout humain, à un moment donné, il faut avoir une activité, rebondir et aller au plus vite. Et au travers de l'ensemble de ces éléments, je ne me suis pas posé, je pense plus de deux secondes pour imaginer le nouveau projet, et ce que j'allais faire dès demain.
 
 Journaliste : Mais alors très vite, vous avez décidé de repartir. Pourquoi si vite ?
 
 Philippe : Parce que j'ai une conviction dans mon métier qui est l'industrie, qui est délaissée depuis des années et qui a un potentiel énorme parce que notre génération, on est peu nombreux, même de nos écoles d'ingénieurs où on est formé normalement pour aller dans ces voies-là, on est très vite détourné vers les sociétés de service ou autres, avec moins de contraintes, il paraît, mais l'industrie devient vite une passion, et aujourd'hui, je vois qu'il y a des opportunités très importantes pour notre génération, avec un savoir-faire certain en France, mais en plus avec aujourd'hui un terrain de jeu qui s'appelle le monde. Donc, il était d'une évidence pour moi de repartir dans ce milieu-là.

Journaliste : Et on l'a dit en introduction, aux 14 usines acquises en 18 mois. Quel était l'objectif de ces multiples rachats ?
 
 Philippe : Il y a des rachats qui nous font une pénétration marché. Il y a des rachats qui nous font une montée en compétence sur ce qu'on appelle les procédés spéciaux et les procédés différenciants qui, justement, sont la Génèse et la compétence du savoir-faire français. 


 Philippe : Donc, on essaye de d'additionner l'ensemble de ces compétences tout en accélérant dans certains marchés, ce qui fait qu'au travers des opportunités et des deals qui nous sont présentés, parfois, ce sont des petites entreprises, parfois des grandes. Donc, ce n'est pas le nombre pour nous qui compte. C'est le schéma industriel que nous avons réussi à construire en si peu de temps.

Journaliste : Alors vous opérer sur un secteur compliqué ? Déjà, l'industrie en général, l'aéronautique en particulier, est mis à rude épreuve avec la crise. Comment vous arrivez à convaincre les différentes parties de ces projets à financer vos projets ?
 
 Philippe : Alors déjà on a eu la chance, justement, de repartir de zéro. Il faut regarder le côté positif, donc on a pu remodeler un groupe différenciant par rapport à ce qui existe aujourd'hui dans les différentes Supply Chain.

Journaliste : Quel est l'avantage de repartir à zéro ?
 
 Philippe : En fait, on fait des acquisitions avec immédiatement la diversification que l'on souhaite, les marchés que l'on vise. On insuffle à la culture de l'entreprise avec cette nouvelle vision, cette nouvelle opportunité de croissance que l'on voit au travers des réorganisations industrielles des donneurs d'ordres, au travers des nouveaux modèles économiques qui peuvent se former sur des industries nouvelles. C'est vrai que c'est toujours plus simple de construire un nouveau puzzle en partant de zéro que de le modifier.

Journaliste : Comment les convaincre ?
 
 Philippe : Comment les convaincre ? Alors, en montrant la différenciation, la robustesse du projet industriel. Ensuite, je dirais qu'on a un background et un passé avec mon associé Patrice Rives, qui fait qu'aujourd'hui, on connaît le monde industriel, on connaît les gens et on a fait quelques retournements rapides qui aussi ont donné du crédit à l'ensemble du projet qu'on vendait.

Journaliste : Frédéric, en préparant cet épisode, vous dites qu'il a choisi, dans le sens d'une industrie, un secteur qui généralement ne plaît pas, vieillissant ou beaucoup de machines à remplacer. Pourquoi vous choisissez de collaborer avec Philippe Rivière et de l'aider dans ses projets pour le moins audacieux ?
 
 Frédéric : Alors, Philippe ne se rend pas compte d'une chose, c'est qu'il est un personnage un peu extraordinaire par rapport à l'univers industriel. C'est quelqu'un qui est extrêmement créatif. C'est quelqu'un qui a une souplesse d'esprit, une agilité à essayer et à arriver à façonner une organisation et la faire évoluer en emportant avec lui les équipes. Ce que je veux dire par là, c'est que il a le tempérament qui ressemble beaucoup plus à ce qu'on voit dans les start up du Net. Et dans l'industrie, j'en ai pas rencontré d'autres, pas rencontré d'autres et je pense qu'aujourd'hui, l'industrie a besoin de cette énergie, de cette vision et de cette agilité.

 

Journaliste :Comment vous trouvez la conviction de le suivre ? Au début, j'imagine que vous ne vous connaissez pas bien.

Frédéric : Je ne le connais pas bien, mais la manière dont il expose son projet, ça fait ressortir assez rapidement les idées qu'il a. C'étaient des idées innovantes. Certes, il y avait un socle qui était différent, un point de départ différent. Mais il y avait quand même des idées un petit peu différenciantes et des expériences au Japon, des partenariats en Inde, etc. Des visions totalement différentes. Enfin, plutôt des expériences différentes, mais un état d'esprit identique de construction, de création et de vision non pas forcément produit, mais de visions de logique industrielle. Et ça, c'est intéressant. C'est à dire qu'une entreprise classique, industrielle, elle, a une agilité qui est très limitée, de par l'outil de production lui-même, et donc, cette agilité est rare à avoir et rare à trouver. Moi, j'ai fait beaucoup d'opérations avec I-DEAL DEVELOPMENT dans ce secteur-là. J'ai accompagné d'autres organisations. On a vendu, on a acheté des entreprises, on a créé des augmentations de capital, mais c'est extrêmement rare qu'on rencontre cette énorme agilité. On l'a rencontrée aussi ailleurs, mais là, c'était flagrant.

Journaliste : L'Industrie aéronautique est mis à rude épreuve par la crise. Qu'est-ce que vous dites quand vous allez voir des investisseurs convaincre du projet de Philippe Rivière ? Quels sont les arguments ? On a envie de savoir. On a envie d'être dans la pièce avec vous !
 
 Frédéric : D'abord, l'industrie aéronautique, certes, passe à un passage difficile. Mais mon intime conviction, c'est qu'elle, elle est loin d'être condamnée. Elle va passer probablement une période et une traversée du désert assez longue, mais elle n'est pas condamnée, c'est un premier point. Donc, qui va faire la donne du marché de demain ? Et bien uniquement les gens qui sont agiles, souples, réactifs, capables d'adapter leur organisation, leur métier aux contraintes économiques dans lesquelles on est aujourd'hui, que ce soit les confinements, que ce soit les nouvelles technologies, que ce soit les aspirations qui changent des uns et des autres. Philippe a cette capacité qui m'intéresse et Patrice avec, vous voyez on sort à l'instant d’un board et ça se termine par "Tiens, voilà le sujet que je n'ai pas réussi à traiter ..." Donc, c'est une remise en question. C'est pas un sachant qui arrive en disant je sais, c'est un sachant qui arrive en disant « voilà là, je me sens plus faible. Pensez quoi ? » Des fois, on est d'accord avec lui, des fois n'est pas d'accord avec lui. Mais c'est cette capacité à aller se remettre en question, cette agilité intellectuelle qui va être retraduit à l'intérieur de l'organisation. Je pense que l'industrie aéronautique ne peut pas s'en sortir s'il n'y a pas cette agilité-là. Donc ça, ça veut dire quoi pour un industriel et un investisseur ? Ça veut dire qu'on lui garantit l'avenir. Et force est de constater que les entreprises sur lesquelles on a accompagné la quasi-totalité assis dans la construction, eh bien aujourd'hui, elles se portent bien.

Journaliste : C'est ce que vous vous dites, après 18 mois d'accompagnement, quand Philippe Rivière vous appelle après son départ de l'entreprise, quand vous regardez le chemin parcouru, vous vous dites quoi ?

 

Frédéric : D'abord, bravo, c'est bien. Je suis très content, fier d'y avoir participé un petit peu. Et puis je lui ai dit "Attends, t'as des ambitions, reprends le chiffre que t'as en tête parce qu'avec ce que l'on peut faire, vu ce que tu as déjà fait, on peut faire encore fois 3 ou 4". C'est comme ça que l'on a terminé notre board tout à l'heure et en plus, je le pense sincèrement et je suis sûr que maintenant, il avait peut être un outil au début du board, mais il n'a plus de doute là.

Journaliste : Ce que je comprends d'un point de vue business, est-ce  que la crise, c'est un obstacle ou une opportunité si on envisage x3, x4 ?
 
 Frédéric : Les deux. Franchement, très objectivement, quand vous prenez des coups de poing dans la figure, on peut pas dire que ce soit que du bonheur. Donc c'est quand même ce qu'on s'est pris, Philippe et ses équipes comprises. Mais en même temps, quand vous avez quelqu'un qui a cette volonté et qui donne le courage et la force... Il est allé avec ses équipes et Patrice dans les usines quand c'était compliqué et qu'elles devaient rester ouvertes. Il est allé avec eux. Il n'était pas un cadre planqué chez lui à faire du télétravail, etc. Il était sur le terrain à accompagner ses équipes qui étaient là, en souffrance. Et elles le savent. Elles l'ont reconnu. À tel point qu'aujourd'hui est devenu un des représentants de la filière dans la vallée de l'Arve d'ailleurs...

Journaliste : Philippe Rivière vous la crise, vous la voyez comment quand vous regardez dans le rétroviseur ?
 
 Philippe : Evidemment qu'il y a eu un coup difficile au démarrage. Après, encore une fois, chaque chose difficile nous fait grandir. Et aujourd'hui, moi ce que je trouve intéressant dans cette crise, c'est que ça a permis la remise en cause et l'approche d'un certain nombre de personnes rapide, justement, ça a accéléré cette agilité de manière forcée et qui permet aussi aujourd'hui de remapper un petit peu l'organisation industrielle. Il y a des deal qui se font, qui n'était pas faisable dans cette rapidité il y a 6 mois en arrière, mais des deals intelligents qui amènent une vraie valeur ajoutée, c'est à dire que 1 et 1 ça fait pas 2, ça fait 11. Et donc voilà, aujourd'hui, tout le monde est en train de chercher un schéma qui fait qu'on est fort aujourd'hui, mais surtout qu'on sera encore fort dans 5 ans et dans 10 ans. Et je trouve que cette remise en cause a été rapide grâce au COVID.

Journaliste : Si on s'éloigne de la crise, vous êtes implantés sur le territoire industriel de Saint-Etienne. Entreprendre ici peut être un peu dur quand vous avez réussi à vous faire votre place ?
 
 Philippe : Le territoire de Saint-Etienne est un territoire historique de l'industrie. C'est un bastion très fort. Mais en termes de compétences, on dit toujours les gens sont aussi durs que leurs outils. Moi, j'aime bien les outils difficiles puisque je suis né dans la forge et dans le laminoir. Et moi, je respecte beaucoup cette compétence et ce savoir-faire parce que ce sont des gens qui sont fiables. Ce sont des gens qui sont fidèles, sont des gens qui sont fiers et aujourd'hui, c'est ce qui fait la force de notre industrie nous permettant d'aller attaquer l'international. Il faut garder cette base. Il faut la rendre plus forte. Mettre plein d'outils d'organisation autour et une connaissance et une structuration pour aller vers l'international. Mais on l'a, cette puissance. Moi, j'en suis fier et on essaie de travailler au travers de ce terreau.

Journaliste : Ça fait maintenant plusieurs mois que Frédéric Bonan vous accompagne dans cette aventure. Vous lui avez proposé une place à votre conseil d'administration. Pourquoi ?
 
 Philippe : J'ai surtout souhaité qu’il réponde oui, parce que Frédéric a été d'une loyauté exemplaire avec nous, parce qu'avec Patrice également depuis le démarrage, on a évidemment une confiance totale envers lui. Il nous l'a prouvé dans des moments difficiles et il nous l'a prouvé sur des remises en cause forcées auprès de nous, sur des certitudes qu'on pouvait avoir.

Journaliste : Comme quoi, par exemple ?
 
 Philippe : Parfois, vous allez avoir une certitude que cette entreprise a fait du sens ou elle ne fait pas de sens, ou elle est bien achetée ou mal achetée et d'avoir des gens autour de vous qui sont en capacité de pouvoir vous dire "Tu fais fausse route" ou "tu es dans le vrai" avec un détachement, mais par bienveillance, etc. C'est ce qui fait, à mon avis, la réussite d'un entrepreneur à demain. Parce qu'on n’est jamais fort, surtout, et donc il faut connaître ses faiblesses et s'entourer par rapport à ces faiblesses-là. Et Frédéric, aujourd'hui, d'un apport essentiel et indispensable, sans quoi ACI ne serait pas là. Mais surtout, j'envisage de faire trois ou quatre fois plus que ce qu'on imaginait.

Journaliste : Vous Frédéric. Pourquoi avoir accepté ? Je crois savoir que c'est rare que vous rentriez dans le board de vos clients.
 
 

Frédéric : C'est assez rare. Ça arrive parfois, mais c'est assez rare. La première chose, il faut que j’ai une véritable confiance en la personne pour pouvoir avoir la liberté de penser et m'exprimer librement en temps réel. Et je dois dire que le board qu'a construit Philippe, c’est un board très constructif où les gens disent ce qu'ils pensent sans agressivité, en toute sincérité, en toute honnêteté. Résultat ça construit et du coup, ça va plus vite. C'est intéressant parce que vous avez l'impression que ce que vous apportez, est transposé dans une réalité qui prend forme. Du coup, ça donne du sens. La spécialité de I-DEAL DEVELOPMENT, c'est effectivement de travailler avec des petites sociétés et d'essayer de faire émerger. Déjà on a fait une partie du chemin avec Philippe et l'accompagnera sur la deuxième partie et la suite

Journaliste : Philippe Rivière, aujourd'hui. 460 personnes dans votre groupe, 53 millions de chiffre d'affaires. Vous dites que vous avez réussi cette aventure ?
 
 Philippe : Non. On est fier déjà d'avoir 460 salariés. C'est 460 fiches de paye en fin de mois, c'est ce que je dis toujours. Donc, il y a des gens derrière, des familles, etc. Evidemment que c'est une fierté parce que c'est notre priorité. Ensuite, je serai satisfait le jour où on aura, je dirais, un bilan solide à tous les niveaux, qu'ils soient financiers et qu'ils soient humains, qu'ils soient techniques, etc. Et qui fait que la société est pérenne. On ne réussit pas sur une année, on ne réussit pas sur six mois dans l'industrie, on réussit sur du long terme. C'est notre ambition. Les jeunes, avec Patrice et moi, j'ai 42 ans et Patrice, 47 ans, donc je pense qu'on a pour plus de 20 ans. On inscrit dans un long chemin sur lequel on est en train de commencer à dessiner, à peindre le projet et le tableau d'ACI. Mais avant d'en arriver à en faire un chef d'œuvre on en a encore pour des années. Mais on est très bien accompagné. On a surtout la volonté.

Journaliste : Est-ce que vous pouvez nous en dire un peu plus sur la suite ?
 
 Philippe : La suite, c'est conserver notre ADN avec des tailles ; on va dire plutôt tactique ou accepter par les marchés. Je ne parlerai pas de taille critique parce qu'on va parler souvent de centaines de millions dans les marchés dont on parle... Nous, on veut être représentatif avec une valeur ajoutée forte, mais tout en ayant quand même une dimension internationale, parce qu'on sait très bien que demain, il faudrait être sur tous les continents pour accompagner nos clients qui pour le coup, sont souvent des donneurs d'ordres de rang 1. Mais tout en valorisant notre Made in France, donc c'est un équilibre jamais simple, mais qui est indispensable pour la survie. L'un ou l'autre qui basculerait ne serait pas sain. Et on le voit aujourd'hui d'ailleurs, dans les sociétés qui sont plutôt en difficulté face aux COVID, c'étaient plutôt des sociétés avec des tendances ou, à droite ou à gauche, trop fortes.

Journaliste : On arrive sur la fin de cette interview une dernière question, est ce que vous donneriez un conseil aux entrepreneurs qui nous écoutent ?
 
 Philippe : Très modestement, je pense qu'il ne faut jamais lâcher. Si on est convaincu de notre projet de la voie, je dirais qu'il faut qu'on suive pour s'éclater. Parce que quand même, on travaille beaucoup, mais on s'éclate, on a la chance de choisir en tant qu'entrepreneur, plutôt les gens qu'on a autour de nous. Ça, c'est quand même une richesse énorme. On rencontre tous les jours des gens vraiment super. Donc ne jamais rien lâcher parce que la route, évidemment, est difficile. Mais c'est ce qu'on aime en tant qu'entrepreneur. Donc c'est un peu cette dualité que l'on retrouve.

Journaliste : Merci beaucoup, messieurs.
 
 Philippe et Frédéric : Merci Florent

Journaliste : Merci de nous avoir fait rentrer dans les coulisses de cette aventure à multiples rebondissements. C'était passionnant. J'espère que cet épisode vous a plu. Je vous donne rendez-vous très bientôt pour une autre histoire rendue possible par I-DEAL DEVELOPEMENT.